MADAGASCAR
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DOSSIER MADAGASCAR : ile AUX NATTES
PRESENTATION DE L’ILE AUX NATTES
L’Île aux Nattes (Nosy Nato) est une petite île de trois kilomètres carrés au sud de l’île de Sainte
Marie (Nosy Boraha) dont elle dépend, elle-même située à quarante kilomètres au large de la côte
Nord Est de Madagascar.
Pour s'y rendre depuis sainte Marie, il suffit de 10 minutes en pirogue.
Il n'y a pas d'électricité ni de routes.
Elle est sillonnée d'une multitude de pistes qui relient les hameaux et cases.
Le climat est tropical humide avec une saison des pluies de janvier à avril (cyclonique), une saison tempérée de mai à septembre et une saison chaude et sèche d'octobre à décembre. La pluviométrie est supérieure à 3500 mm par an.
La population serait d'environ 33000 habitants à Sainte Marie et 1800 à L’île aux Nattes, soit 600 habitants au kilomètre carré. La démographie est galopante.
Les gens vivent essentiellement de la pêche, d'emplois saisonniers dans l’hôtellerie touristique, des emplois ponctuels dans la construction, de la culture de patates douces, songes, manioc, un peu de riz et des fruits tels que bananes, mangues, corossols, noix de coco, papayes, arbres à pain et litchi produits sur des mini parcelles qui ne cessent de diminuer, étant partagées à chaque génération, Les rendements agricoles sont très faibles par manques d'intrants, de semences, de matériel et de technicité . Les sols ont néanmoins un bon potentiel.
Les femmes s'activent aussi dans le micro commerce. Essentiellement au travers d'une multitude de petites gargotes qui proposent les produits de base non périssables ainsi que des boissons, soupes … Tandis que d'autres se déplacent de case en case et vendent le poisson que les hommes ont péché la nuit ainsi que des légumes, fruits, tissus et vêtements...Et en saison touristique il y a l’artisanat, la vanille et girofle, poivre, parfums...
Mais tout cela reste insuffisant. La population demeure dans une situation très pauvre et précaire.
POSSIBILITE DE DEVELOPPEMENT DE L’ILE AUX NATTES
Malgré cela, l’île est paisible et magnifique avec ses plages de rêve, son lagon, une population chaleureuse et accueillante. Elle attire de plus en plus de touristes. Ces dernières décennies ont vu l'implantation de structures touristiques de qualité. Cela va depuis les bungalows traditionnels et authentiques mais de bonne tenue jusqu'aux écot-loges, gîtes et hôtels très luxueux. Aucune de ces structures ne dépasse 10 unités. Pas de tourisme de masse.
En parallèle, s'installent des résidents étrangers, en majorité des retraités qui salarient des locaux pour le ménage, le gardiennage, le jardinage, la cuisine...
Ces emplois dans le tourisme et chez les résidents étrangers sont les seuls à assurer des revenus fixes. Ce qui est très précieux. En période difficile cela assure le minimum vital.
Le salaire mensuel moyen est d'environ 50 euros.
Notre propos est de les fournir en mettant la production locale à leur niveau de qualité et d’hygiène et d'assurer un approvisionnement régulier et constant.
L'objet du projet concerne un groupe familial élargi regroupé en hameau (cette structure familiale est très courante) et très soudé dont l'activité principale est la pêche et surtout l'élevage de poulets de chair, nouvelle production ou ils ont acquis une solide expérience depuis quelques années et qu'il s'agit maintenant de développer. Il y a aussi des compétences en maçonnerie, ce qui est précieux car il y aura des constructions à réaliser.
Ils ont ouvert une petite gargote et produisent quelques fruits et légumes et une petite parcelle de manioc et patates douces.
Rien ne peut être développé sans énergie. C'est la base de toute évolution.
Ici elle ne peut être que solaire. Et depuis peu, on trouve du matériel des plus performants, dans les standards internationaux. Et, tout aussi importants, de vrais professionnels.
Nous avons obtenu un devis intéressant de GILLES ROBERT SARLU.
L'installation pourrait être réalisée très prochainement.
Ceci donnerait accès à l'éclairage, la réfrigération, la congélation, l'eau courante, l'électroménager,
le petit matériel électrique...
INTERET DU PROJET POUR LES ELEVEURS DE VOLAILLE
Leur objectif est d'assurer un approvisionnement constant et régulier des clients en poulets de chair.
Les poulets qu'ils élèvent sont commercialisables dès âge de 6 semaines et jusqu'à 8,5 semaines. Il faudrait donc relancer un banc de 100 poussins toutes les 3 semaines environ. Mais ils n'y arrivent pas et il y a des ruptures dans l'approvisionnement, ce dont se plaignent les clients.
Pour des questions de logistique c'est difficilement envisageable. Car il faut aller chercher les poussins à Tamatave, sur la grande île et c'est une expédition de cinq jours pour 100 poussins.
L'idée est donc d'acheter les poulets par 200 ou 300 et d'en congeler la moitié à 7 ou 8 semaines.
Ainsi la production est lissée, les clients satisfaits et la logistique divisée par deux ou trois.
Il faudrait aussi envisager l'éventualité de gonfler le stock en saison cyclonique car il arrive couramment que pendant plusieurs semaines l'approvisionnement depuis Madagascar ne soit plus assuré, la mer étant trop mauvaise. Ce qui interrompt aussi la pêche locale. Et c'est la pénurie.
INTERET DU PROJET POUR LES PECHEURS
Il y a localement plusieurs techniques de pêche. Toutes ont leur valeur.
La principale est celle qui ne se voit pas car elle est nocturne.
C'est la plongée en apnée, avec des harpons qu'ils se fabriquent eux même avec un fer à béton, une lampe étanche dans l'autre main. Ils partent généralement à 4 ou 5 entre 21h00 et 23h00 sur les pirogues traditionnelles à 200 ou 400 mètres de la cote. Sur des fonds de 4 à 8 mètres. L'équipage est composé de 3 ou 4 plongeurs et d'un piroguier. De retour à terre, ils paient le piroguier et se partagent la pêche de 4 à 12 kg chacun
Leur cible sont les poissons qui la nuit, dorment au fond. Ce sont des poissons de taille modeste. 400 grammes en moyenne.
Dès le lever du jour, les femmes font la tournée des cases et des hôtels et vendent le produit de la pêche.
Les pêcheurs effectuent aux alentours de 20 plongées chacun entre 4 et 8 mètres de profondeur et remontent 0 à 2 poissons à chaque fois. Cela 4 heures dans la nuit. La fatigue et le phénomène d’hypothermie fixent ces limites. Cela demande un entraînement physique et une grande endurance. La sélection et la formation des jeunes est assurée par les anciens. Ça prend environ deux ans.
Les pirogues étant fragiles, ils ne peuvent sortir en mer que lorsque la météo marine est des plus favorables. Néanmoins 1 à 2 pêcheurs disparaissent en mer chaque année.
Parfois ils sont bloqués pendant plusieurs semaines. De même, par pleine lune, ces poissons ne dormant pas, ils doivent renoncer.
Tout cela signifie que la pêche, activité essentielle, est irrégulière. De plus, il leur arrive d'avoir des difficultés à vendre leurs poissons pour différentes raisons. Fin de mois difficiles, rentrée des écoles à financer en priorité, fin de la saison touristique... Un pécheur s'attristait de devoir limiter sa pêche par manque de clients puis 15 jours après ne pas pouvoir fournir parce qu'il ne peut pas pécher.
Le raisonnement est très simple. Comme pour les poulets de chair, il faut congeler.
De même pour la saison cyclonique, il faut stocker.
En plus, ces pêcheurs-là font partie du même groupe familial élargi.
INTERET POUR LES FAMILLES
L’accès à l'énergie pourrait considérablement améliorer la vie quotidienne des familles en leur donnant une priorité pour une des plus belles inventions du vingtième siècle ; le lave-linge. Et aussi à l'eau courante et à l'éclairage.
La réfrigération leur permettrait de mieux conserver les viandes, poissons, fruits et légumes. Et d'avoir de l'eau et des boissons fraîches. Cela rendrait possible la fabrication de jus de fruits naturels qui, à température ambiante, fermentent en deux jours.
Les femmes passent un « temps fou » à faire manuellement la lessive dans une bassine à même le sol et à transporter des seaux d'eau.
De même pour la cuisson des aliments réalisée au charbon de bois avec des « fatanpera », au ras du sol.
Une gazinière inox serait un grand progrès. Inox car en condition saline les gazinières classiques rouillent très vite.
Libérer les femmes de ces tâches ingrates les soulageraient et leur permettraient de développer des activités plus valorisantes.
LES ETAPES
1 INSTALLATION PHOTOVOLTAIQUE
Le choix s'est porté sur du matériel performant, désormais disponible à Madagascar.
D'une puissance de 4000 W de panneaux, 600 Ah de batteries, 3000 W pour les convertisseurs
24 V/230 V, régulateurs de charge. 11500 euros
Un groupe électrogène de secours de 5 à 8 KVA est indispensable. 2000 euros
2 EQUIPEMENTS
2 congélateurs « coffre » de 400 litres minimum. 1600 euros
1 gazinière inox
1 réfrigérateur tour de 300 litres 900 euros
1 pompe à eau avec surpresseur 500 euros
1 Lave-linge 800 euros
1 Gainière inox 700 euros
Équipements électriques ; câbles, fils, prises, ampoules... 800 euros
Plomberie : robinetterie, tuyauterie, éviers... 600 euros
Outillage : perceuse, ponceuse, disqueuse, scie sauteuse, caisse à outils, pelles... 1000 euros
1 scooter (pour les livraisons) 800 euros
1 carsher (nettoyage poulailler) 600 euros
Transport en bateau, camion, « touc touc », pirogue, brouette... 500 euros
TOTAL PHOTOVOLTAIQUE ET EQUIPEMENTS 22300 euros
3 CONSTRUCTIONS
Les constructions traditionnelles sont faites avec
– Pour les structures et charpentes, de bois importé de Madagascar qui devient rare et très
cher.
– Pour les cloisons, planchers ou autres, de bobos correspondant aux tiges de raphia.
– Pour la couverture des toitures, de ravipuntsy qui correspond aux feuilles du ravenal (arbre du voyageur).
– Pour les murs et cloisons, de falafa correspondant aux tiges des mêmes ravenalas.
Ces matériaux ont pour point commun d’être tout sauf durables. La couverture des toitures doit être changée tous les 3,5 à 4 ans. Le reste, tous les 12 à 15 ans.
En plus ces constructions sont très fragiles et vulnérables face aux cyclones. Lors du dernier cyclone en 2008, presque toutes ont été rasées.
De plus elles sont plutôt malsaines, hébergeant des tas d'insectes piqueurs, pinceurs, rongeurs, qu'ils soient rampeurs ou volants. Parfois, selon les saisons, ça grouille.
Les constructions en demi dur ont apporté une amélioration mais insuffisante. Les toits en tôles aussi mais en saison chaude les cases sont des fournaises.
Pour ces raisons, les quelques constructions à prévoir le seront en dur avec toitures en terrasses étanches.
1 bâtiment de 30 mètres carrés divisé en 3 parties :
– Stockage de la Provende et de deux congélateurs
– Stockage du matériel
– Local technique pour héberger entre autres la pompe et le groupe électrogène.
Plus tard le bâtiment sera prolongé par un local ouvert abritant un plan de travail pour l'abattage et la découpe des poulets dans de bonnes conditions sanitaires.
1 poulailler pouvant héberger 3 à 500 poulets en faible densité avec accès à un espace extérieur
grillagé. Il sera réalisé sur l'emplacement du poulailler actuel après destruction.
Ce bâtiment est prévu pour faciliter des lavages et désinfections fréquents et minutieux. Du fait des conditions climatiques les maladies sont omniprésentes et les épidémies, quand elles arrivent causent des ravages.
La main d’œuvre sera assurée par les membres du groupe. Ils en ont la compétence. Mais du fait de la durée des travaux est estimé à 8 mois, il faut les rémunérer correctement.
A titre indicatif, ils prévoient de travailler à 4 personnes pendant 3 à 4 mois pour 100 euros par personne et par mois.
RECAPITULATIF
Bâtiment de stockage et local technique 8000 euros
Local d'abattage et de découpe 1000 euros
Poulailler 4000 euros
Total 13000 euros
Report 2quipements 20900 euros
TOTAL GENERAL 33900 euros
Les montants indiqués sont précis pour l'installation photovoltaïque.
D'autres, estimations sont approximatifs mais certainement très proche de la réalité.
Le montant estimé pour les constructions est plus approximatif.
En fonctions des nouvelles données sur les prix, nous pourrons les affiner.
Les prix indiqués en euros le sont d’après le taux de change actuel qui est très volatil. Il est surtout influencé par le taux de change Euro/USD. En ce moment la tendance ne nous est pas favorable.
DON 2024
DON 2024
NOUS VOUS REMERCIONS POUR VOS AIDES QUI NOUS PERMETTENT D'APPORTER UN SOUTIEN A DES GENS SOUVENT DEMUNIS DANS LEUR VIE QUOTIDIENNE. GRACE A VOS DONS NOUS POUVONS POURSUIVRE NOS EFFORTS TECHNIQUES ET APPRENDRE A NOURRIR LES POPULATIONS LOCALES.
MILLE MERCI
LE PRESIDENT
GERARD CROUAU
LES MISSIONS EN COURS
SITUATION TRAGIQUE DE LA COMMUNAUTE D'ASCENSION AU PEROU
Situation tragique de la communauté d'Ascension. C'est un peu l'hécatombe, suite au déficit d'eau dans ces hauteurs andines, qui affecte animaux et hommes. Ceux-ci, dans une tentative désespérée de sauver la situation, ont un besoin urgentissime de s'équiper pour recueillir le peu d'eau disponible avant la sécheresse de juin. Ils ont besoin d'un équipement basique pour faire face et l'installeront par eux-mêmes. Cela fait pitié de voir les photos qui accompagnent le dossier... Sans compter la description de l'état de lieux, pathétique. Ils ont l'intention de faire face avec des moyens sommaires.
Pourrait-on compter sur un financement ? Si nous avions une subvention de 2300€ qui s'ajouterait à notre reliquat de 4000€, cela couvrirait 10% des besoins. La symbolique serait forte et les aiderait à démarcher leurs institutions.
Encore merci pour tout et à très bientôt. Un fuerte abrazo Elisabeth ALIAGA
LES MISSIONS EN COURS
De nombreuses missions sont en cours de préparation et nous devons intervenir dans les meilleurs délais. Nous avons de nombreuses demandes d'intervention notamment en RDC République Démocratique du Congo, en Côtre d'IVOIRE, au Sénégal, en Algérie, en Uruguay, etc. Et il est toujours très difficiles de ne pas pouvoir réaliser une mission à cause d'un problème financier mais c'est hélas souvent ce qui se passe. Même des Etudiants français désireux de réaliser des missions à l'étranger ne peut être pris car souvent ils n'ont pas conscient que l'argent est un partie importante de nos actions. De nombreux experts interviennent à titre bénévole ce qui nous permet d'exister encore
CONTRIBUER A L'AVENIR DE L'ASSOCIATION HUMANITAIRE AGRO SANS FRONTIERE
CONTRIBUER A L'AVENIR DE L'ASSOCIATION HUMANITAIRE AGRO SANS FRONTIERE
Des missions sont actuellement en cours pour aider des pays, des régions en difficultés alimentaires. Nous devons les aider à produire directement sur leurs sols.
Pour cela sans votre générosité nous ne pouvons rien faire.
Nous vous remercions pour votre aide financière en versant un don aussi peut-il soit-il directement sur le site AGRO FRONTIERE
PROJET POUR L'UKRAINE
PROJET POUR L'UKRAINE
PRODUCTION DE POMMES DE TERRE A PARTIR DE GRAINES
PRODUCTION DE POMMES DE POMMES DE TERRE A PARTIR DE GRAINES
Agro sans Frontière met en œuvre la technique de production de pommes de terre de consommation
à partir de graines dans le but d’approvisionner facilement des pays ou des zones particulières.
Cette méthode présente trois avantages majeurs :
- Gratuité des graines ;
- Utilisation de graines pour la semence facilite le transport et le stockage ;
- Production de consommation dans l’année sans passer par les magasins de stockage de plants.
OBJECTIF DU PROGRAMME
Pour une production locale :
-Mise en place d’une pépinière sur quelques m2 à partir de graines qui donneront des plantes à repiquer
-Ces plantes repiquées produiront les premiers tubercules à raison de 2,5 tubercules par plantes
-Ces tubercules servent de plants et produiront 10 tubercules par plantes
Pour une production à grande échelle les calculs sont les suivants :
- Dans un GRAMME (g) de GRAINES il y a 1000 GRAINES.
Avec 200 g soit 200 000 graines, nous pouvons ensemencer 1 ha.
Nous pouvons ainsi mettre en place le schéma de production de plants de qualité suivant le schéma ci-dessous :
En première génération nous aurons 200 000 plantes par ha qui donneront en moyenne 500 000 tubercules. Soit 2,5 tubercules par plante
En deuxième génération ces 500 000 tubercules, soit 500 000 plantes donneront 10 ha à raison de 50 000 tubercules/ha
Chaque plante produira environ 10 tubercules soit 5 000 000 de tubercules.
En troisième génération les 5 000 000 de tubercules permettront d’ensemencer 100 ha (50 000 tubercules par ha)
Ces 100 ha donneront à leur tour environ 35 t par ha soit 3500 tonnes de consommation.
Ainsi à partir de 200 graines nous pouvons avoir 100 ha de production en 3ème génération
Bien sûr chaque année, il faut remettre en place le schéma pour avoir une production de consommation annuelle permanente. Pour information en France en moyenne les plants commercialisés sont issus de la 5èmegénération.
MISE EN ŒUVRE DU PROGRAMME
L’OBTENTION DES GRAINES
Dans un premier temps, les experts d’Agro Sans Frontière se chargent de récupérer, de préparer, de conditionner les graines de pommes de terre.
Ces graines sont produites à partir de certaines variétés.
Mode de récupération des graines
Fleurs en cours d’autofécondation
Graines produites à l’intérieur des baies
Récolte des baies renfermant des milliers de graines
Stockage des graines
PREPARATION DE LA PEPINIERE
Semer les graines sur buvard humidifié et couvrir avec un
film transparent
Après quelques jours (6 à 10 selon la température) les graines commencent à germer
Semer les graines germées dans des terrines, placées en plein
air (environ 250 graines par terrine)
Observation après 10 jours
Dès que les plantules ont atteins 6 à 10 cm les repiquer en pépinière
Dès que les plantules ont atteint 6 à 10 cm, les repiquer en pépinière. Chaque graine donnant une tige, il faut entre 25 et 30 plantules au M² (250 000 à 300 000 tiges à l’hectare)
Après environ 60 jours, 150 graines en
végétation
La récolte peut se faire environ 100 jours après la
Plantation
Récolte de 150 graines le 30 aout
Répartition des calibres
+ de 50 25/50 0/25
CONCLUSION SUR LA TECHNIQUE GRAINES
Cette technique de production de pommes de terre à partir de graines est certainement la technique adaptée pour permettre à différents pays et zones particulières d’être approvisionnés en semences en utilisant ce système pour une production annuelle de pommes de terre de consommation.
Il est évident que la facilité de conservation, de transport font de cette méthode une technique qui doit trouver un développement dans ce cadre d’intervention. Rappelons que pour planter un hectare de pommes de terre il faut en moyenne 2 tonnes à 2,5 tonnes alors que par la technique de graines il suffit de 200 g de semences par hectare.
MADAGASCAR ET LES INONDATIONS
MADAGASCAR ET LES INONDATIONS
La grande ile connait des inondations très importantes suite à une dépression tropicale qui a entrainé des pluies diluviennes. Nous comptons actuellement environ 23 000 sinitrés et des morts.
Les conséquences humaines sont terribles surtout suite à la Pandémie COVID qui a fortement altéré l'économie nationale
Des besoins humanitaires sont fondamentaux pour aider et sauver les populations les plus touchées.
AGRO SANS FRONTIERE fait appel à votre générosité pour nous permettre d'intervenir auprès de ces gens en détresse.
L'agriculture devra renaître dans les meilleurs délais notamment tout ce qui concerne les cultures maraîchères et AGRO SANS FRONTIERE pourrait apporter les semences nécessaires.
Nous vous remercions vivement pour vos dons aussi petit soit-il pour nous aider pour cette mission urgente
Le Président
Gérard CROUAU
COTE D'IVOIRE
LUNDI 20 DECEMBRE 2021 A PARTIR DE 20h3O h de PARIS
POUR LE COMPTE DE CIARA QUI ORGANISE UN REPAS POUR LES ENFANTS EN CÔTE D'IVOIRE
MERCI POUR VOTRE PARTICIPATION ETVOS DONS DIRECTEMENT SUR LE SITE AGRO SANS FRONTIERE : FAIRE UN DON
CONCERT AGRO SANS FRONTIERE COTE D'IVOIRE
CONCERT AGRO SANS FRONTIERE
LUNDI 20 DECEMBRE 2021 A PARTIR DE 20h3O h de PARIS
POUR LE COMPTE DE CIARA QUI ORGANISE UN REPAS POUR LES ENFANTS EN CÔTE D'IVOIRE
MERCI POUR VOS DONS DIRECTEMENT SUR LE SITE AGRO SANS FRONTIERE : FAIRE UN DON
LES INGENIEURS AGRONOMES, LES INGENIEURS EN AGRICULTURES, LES TECHNICIENS EN AGRICULTURE
LES INGENIEURS AGRONOMES, LES INGENIEURS EN AGRICULTURE, LES TECHNICIENS EN AGRICULTURE
Beaucoup d'entre eux nous ont rejoint sur notre Plateforme internationale AGRO SANS FRONTIERE.
Etant sollicités par de nombreux pays en souffrance alimentaire nous pouvons intervenir et constituer tous les dossiers pour financer nos actions humanitaires.
Nous remercions tous ceux qui nous apportent un appui soit directement pour des dons, soit indirectement pour l'aide technique, logistique et morale qui nous permettent d'assurer nos missions avec des Experts compétents du secteur AGRO ALIMENTAIRE
MARQUES ECO-RESPONSABLES ET ETHIQUES
MEANWHILE BOUTIQUE (https://meanwhile.boutique)
Meanwhile Boutique est une boutique en ligne éco-responsable et éco-friendly
Meanwhile Boutique s'investit dans les produits éco-responsables suivant une éthique avec des créateurs de différents pays.
Ils nous font profiter de la qualité, de la beauté de leurs créations et chacun peut avoir directement accès à tous ces produits.
Ainsi un Univers unique est mis à notre disposition conformément au respect d'une charte basée sur 5 piliers :
- l'anti-gaspillage
- l'artisanat
- l'impact humain et social
- la préservation des ressources
- les certifications
Cette marque valorise des créateurs engagés dans la transition écologique et sociale.
Le choix des produits se fait directement sur (https://meanwhile.boutique)
MADAGASCAR ET LA FAIM
MADAGASCAR
MADAGASCAR serait-elle devenue l'Ile de la FAIM.
Les chiffres sont annoncés et près de 1 million de personness sont menacées par la famine dans le sud de Madagascar (journal Les Echos).
La malnutrition touche les enfants qui souffrent terriblement de cette situation agravée par les conditions climatiques de plus en plus prononcées dans ce pays (séchesse, cyclones, inondation). Tout va de mal en pis ! A toutes ces difficultés s'ajoutent bien sûr les effets de la Pandémie COVID qui privent l'Ile d'un tourisme fondamentalement important pour son économie.
Agro Sans Frontière a souhaité apporter son soutien agronomique, logistique et technique. Nous remercions toutes les personnes, structures et organisation qui pourrons nous apporter une contribution financière par des DONS qui peuvent être faits directement sur le site AGRO SANS FRONTIERE
Le Président
Gérard CROUAU
PRESENTATION GENERALE ASF
AGRO SANS FRONTIERE
PRESENTATION ASF au format PDF (245ko)
Agro Sans Frontière est une Association de Solidarité Internationale à but non lucratif qui a été créée en 1993 avec pour objectif sur la base d’Experts en agronomie et agriculture d’apporter une assistance agronomique à tout pays et toute population, qui ont des besoins alimentaires dans le cadre d’un processus de développement durable, dans le respect des femmes et des hommes, de leurs cultures et de leurs croyances.
Sur le plan français nous trouvons plusieurs délégations régionales notamment :
AFS Bretagne, ASF Pays de Loire, ASF Normandie, ASF Occitanie.
Sur le plan international des Délégations nous ont rejoint notamment ASF Suisse, etc.
Nous avons signé en Novembre 2002 un accord de coexistence avec MEDECINS SANS FONTIERES (voir ci-joint Accord de coexistence).
Notre démarche première a été de participer directement à toutes les actions de solidarité sans avoir un personnel permanent pour pouvoir investir nos finances dans les projets.
Depuis 1993 des actions de solidarité ont été réalisées dans différents continents : Afrique, Amérique Latine, Asie du Sud-Ouest.
AGRO SANS FRONTIERE (ASF), Organisation Non Gouvernementale (ONG), est déclarée suivant le statut d’une Association loi 1901 :
Parution au Journal Officiel du 20 Octobre 1993 (voir ci-joint la déclaration au JO), avec pour objet initial :
« Apporter un appui agronomique à toute partie du monde présentant des besoins alimentaires »
De nouveaux statuts ASF ont été rédigés (voir annexe 1) conformément aux objectifs initiaux de l’Association et des modalités d’organisation générale et spécifiques de l’Association notamment répondre aux nouvelles exigences pour la sécurité des données.
Cependant, nous avons été contraints de modifier les statuts pour intégrer les conditions internationales qui sont liées à l’obligation :
1- de prévoir un développement global durable
2- de prévoir une alimentation qui devra prendre en compte 9 milliards d’humains en 2050 contre 6 milliards aujourd’hui
3- d’anticiper notre agriculture pour assurer sa durabilité face aux changements climatiques
4- de répondre aux exigences sociétales par une demande alimentaire saine et en quantité suffisante
5- d’assurer la maîtrise sanitaire des productions végétales et animales tout en prenant en compte la sauvegarde de la Biodiversité
6- d’assurer la formation de tous les intervenants quelques soient les lieux d’intervention en utilisation des moyens modernes de communication
7- de prendre en compte les Nouvelles Biotechnologies susceptibles d’apporter des réponses adaptées aux conditions actuelles et à venir
8- de participer aux débats nationaux et internationaux sur tous les sujets alimentaires et d’être un lieu de réflexions et de propositions concrètes sur ces sujets agronomiques tout en conservant le respect de la Charte (annexe 2)
9- être la Vitrine de l’Agronomie et de l’Agriculture sur un plan national et international par la réunion de tous les acteurs intervenant dans ces domaines : techniciens, enseignants, économistes, informaticiens, logisticiens etc.
Chacun des points fait l’objet d’un développement présenté ci-dessous :
1 - PREVOIR UN DEVELOPPEMENT GLOBAL DURABLE
L’économie s’est mondialisée dans quasiment tous les domaines et bien sûr celui de l’agriculture. A tel point que l’on parle de l’Arme alimentaire dont certains pays semblent se munir. Il devient évident que les productions intensives développées sur certaines zones du globe jouent un rôle qui, à terme, peut être préjudiciable pour l’agriculture. On assiste ainsi à des productions intensives pour lesquelles le résultat du rendement est essentiel afin de produire au plus bas coût. Le plus bas coût est fondamental pour ce type de production car ce sont bien ces productions qui voyageront à travers Terre et Mer pour nourrir des populations qui n’ont pas toujours les moyens de financer leurs achats alimentaires.
La maîtrise d’un développement global durable concerté entre les grands pays producteurs et les pays demandeurs s’imposent. N’oublions pas que certains pays comme la Chine ont d’énormes besoins d’approvisionnement pour nourrir sa population. La « soif » de terre devient une nécessité qu’il faudra satisfaire. L’Afrique est devenue un enjeu et une proie facile pour ce géant qui dispose de milliards de dollars et d’une population tellement énorme que des dizaines de milliers de Chinois peuvent sur demande se déplacer sur un autre continent.
Déjà des milliers d’hectares ont été achetés à Madagascar et la Chine va investir des milliards en Afrique
L’enjeu est très important car les techniques modernes intensives vont être transportées sur d’autres zones qui n’avaient pas jusqu’à présent accès à ces techniques. Mais surtout nous pourrions assister à une délocalisation de l’agriculture que l’on pensait jusqu’à présent attachée à sa propre terre.
Nous voyons à ce stade l’importance d’une réflexion générale pour la prévision d’un développement globale durable
Objectif : Avoir une vision de l’économie mondiale aux travers des productions des pays et des échanges import/export et imaginer des propositions intégrant un développement global durable
2 - PREVOIR UNE ALIMENTATION QUI DEVRA PRENDRE EN COMPTE 9 MILLIARDS D’HUMAINES EN 2050 CONTRE 6 MILLIARDS AUJOURD’HUI
Les ressources alimentaires ne sont pas extensibles à l’infini même si nous pouvons envisager diverses solutions pour augmenter les quantités à produire.
Cependant, pour les espèces majeures les gains d’augmentation des résultats semblent limités. Des solutions alternatives sont à privilégier si l’on veut atteindre cet objectif de nourrir la population tout en assurant la protection de la planète.
La souveraineté alimentaire et la protection de la Planète sont deux enjeux majeurs et liés pour le 21ième siècle. Mais cela implique que tous les décideurs et tous les acteurs, à tous les niveaux, s’engagent pour relever ces défis.
En ce qui concerne la souveraineté alimentaire, nous sommes 6 milliards sur terre avec près d’un milliard (800 millions) de personnes (souvent des femmes et enfants) qui souffrent de la faim sans compter les malnutritions, les carences, les maladies induites, etc. et, paradoxalement, ce sont souvent les populations rurales des pays du sud qui sont les plus affectées. Nous serons plus de 9 milliards en 2050, peut-être 11 à 12 milliards en 2100.
La population du continent africain va passer de 1 à 2 milliards d’ici 2050. Pour la plupart des pays d’Afrique de l’ouest (Mali, Burkina, Niger, Sénégal, Tchad, etc.), ils se caractérisent par un climat en grande partie « sahélien » (une courte saison des pluies, une longue saison sèche dont une partie très chaude) avec des aléas amplifiés par les dérèglements climatiques de plus en plus fréquents. La population augmente de 2 à 3% par an, avec une progression urbaine et périurbaine de 6 à 7%/an, phénomène que l’on retrouve dans les capitales (Bamako, Ouagadougou, Niamey, etc.) mais aussi dans d’autres villes, côtières notamment, avec en corollaire une perte de forces vives dans les campagnes pour l’agriculture vivrière locale.
A ces éléments, concernant la démographie, viennent s’ajouter d’autres facteurs parmi lesquels les dérèglements climatiques qui ont déjà et auront encore plus dans l’avenir, de fortes répercussions sur la production et les mouvements de populations (réfugiés climatiques) même si on arrivait à limiter le réchauffement global de la planète à moins de 2°C.
Objectif sur l’exemple de l’Afrique nous pouvons envisager les points ci-dessous :
Engager rapidement des politiques de développement durable prenant en compte simultanément ses trois piliers fondamentaux que sont le social et l’humain, les productions vivrières locales et l’environnement au sens large.
Soutenir les agricultures familiales qui sont une « chance pour la planète » car elles doivent se développer tout en intégrant les risques liés aux dérèglements climatiques. Il faut à la fois produire, s’adapter aux dérèglements climatiques et développer des méthodes qui permettent d’atténuer les effets de ces dérèglements climatiques.
Prendre en compte les conditions générales permettant le développement en amont et en aval de la production : les infrastructures font souvent défaut, les équipements nécessaires pour structurer une filière sont insuffisants et inexistants, les dispositifs de valorisations des récoltes (stockage, transformation, etc.) sont très peu développés. Tous ces facteurs conduisent à une production agricole fragile et à un métier de paysans peu attractif.
Améliorer et diversifier les productions vivrières qu’elles soient de saison des pluies ou de saison sèche (maraîchage) mais cela suppose des actions pérennes : fertilité (notamment organique) des sols (fumier, compost, agroforesterie, etc.), ressources en eau, accès à des semences de qualité, pratiques culturales adaptées à chaque situation, connaissance et maîtrise du parasitisme (en végétation et en conservation), post-récolte (conditionnement, stockage, organisation des marchés locaux, transformations, etc.).
Prendre en compte les problèmes liés à l’environnement :
- la gestion des ressources en eau, (quantitative mais aussi qualitative) non seulement pour les besoins humains mais aussi pour les productions vivrières (végétales et animales) ;
- la protection des sols et la restauration de leur fertilité : gestion de la matière organique, évolution vers des systèmes de production plus autonomes, transitions vers des systèmes de productions biologiques (agro-écologie, agroforesterie, permaculture, agriculture raisonnée, etc.) ou du moins des systèmes « durables » et respectueux de l’environnement;
- la protection et la restauration du patrimoine arboré : protection des arbres, replantations, diversification des sources d’énergie, valorisations des produits issus de la flore arborée.
3 - ANTICIPER NOTRE AGRICULTURE POUR ASSURER SA DURABILITE FACE AUX CHANGEMENTS CLIMATIQUES
Les agricultures de par le monde doivent prendre en compte les enjeux du changement climatique et adapter leur modèle. En Europe nous parlons de l’agriculture locale susceptible d’approvisionner au moins en qualité une partie de la population et surtout de répondre à une maîtrise environnementale qui permettra sa durabilité. Cependant, les productions intensives en provenance de pays non respectueux de l’environnement pénètrent les pays à des prix défiant toute concurrence.
Parallèlement à cela nous avons les agricultures dites familiales qui si elles sont reconnues et soutenues ont un rôle capital à jouer, partout dans le monde et à plus d’un titre : cela doit conduire, entre autres à :
- la reconnaissance et la promotion du métier de paysan et paysanne ;
- l’amélioration et la diversification des productions vivrières « locales » ;
- la préservation des ressources naturelles et l’évolution vers des systèmes durables, agro écologiques si possible.
Objectif :
- Déterminer les risques liés aux changements climatiques pouvant affecter la durabilité de l’agriculture
- Prendre en compte déjà les agricultures locales et encourager les agricultures familiales
- Raisonner les agricultures performantes
4 - REPONDRE AUX EXIGENCES SOCIETALES PAR UNE DEMANDE ALIMENTAIRE SAINE ET EN QUANTITE SUIFFISANTE
Une prise de conscience de la qualité alimentaire par l’ensemble de la société impose de revoir les méthodes de production et de mettre en place de nouveaux systèmes adaptés afin de répondre à la demande de produit de haute qualité mais avec l’objectif d’une production en quantité suffisante.
Cela doit entraîner inévitablement d’une part, l’estimation des besoins réels et d’autre part, de revoir les standards de production avec une remise en cause des modalités de production dont la prise en compte du respect de l’environnement : agro écologie, agriculture raisonnée, etc. A l’échelle d’un pays il faut bien sûr penser aux réseaux de distribution et cela toujours dans un cadre de sécurité alimentaire : éviter le développement du parasitisme, respect de la chaine du froid, etc.
Objectif :
Prendre en compte les exigences sociétales sur la qualité alimentaire attendue. Cela implique de revoir les méthodes de production ainsi que de repenser les réseaux de distribution pour garantir le maintien d’une alimentation saine.
5 - ASSURER LA MAITRISE SANITAIRE DES PRODUCTIONS VEGETALES ET ANIMALES TOUT EN PRENANT EN COMPTE LA SAUVEGARDE DE LA BIODIVERSITE
La maîtrise sanitaire des productions végétales et animales est bien sûr un enjeu majeur qui implique une maîtrise pour la sauvegarde de la biodiversité des espèces. Les zones d’origine des plantes restent plus que jamais des zones fondamentales pour la sauvegarde de gènes indispensables à l’amélioration des espèces d’autant que nous devrons faire face à l’arrivée de nouveaux cortèges parasitaires découlant des modifications des conditions climatiques.
Même si aujourd’hui des Centres internationaux de sauvegarde de la biodiversité existent, les productions locales, l’agriculture familiale devront se développer pour augmenter le capital de gènes in vivo avec bien sûr la compétence de cadres techniciens capables d’assurer cette maintenance sur le terrain.
Objectif :
- Assurer une vigilance de tous les instants sur la maîtrise des organismes nuisibles dits réglementés et non réglementés. Les techniques de production doivent impérativement tenir compte de la maîtrise sanitaire qui englobe également l’environnement. Un environnement pollué ne permettra plus une production saine, exempte d’organismes nuisibles. Cela implique de disposer de tout l’arsenal technique de lutte : lutte écologique, lutte raisonnée et lutte chimique quand cela s’avère nécessaire.
- Assurer le maintien sanitaire de pays, de partie de territoire qui sont exempts d’organismes nuisibles notamment par une prise en compte des échanges par le respect des exigences phytosanitaires entre pays importateurs et exportateurs
- Mettre à disposition de tous, les espèces indigènes capables d’apporter une « réserve génétique » et assurer la sauvegarde de cette biodiversité
6 - ASSURER LA FORMATION DE TOUS LES INTERVENANTS QUELQUES SOIENT LES LIEUX D’INTERVENTION PAR L’UTILISATION DES MOYENS MODERNES DE COMMUNICATION
La formation reste le fond essentiel de développement de toutes les agricultures. La connaissance des techniques, des diverses formes d’agriculture est une nécessité pour l’intégration correcte de tous les peuples. L’agriculture familiale avec l’agriculture vivrière doit être une base du développement qui implique connaissance et organisation des activités. Il n’y a pas de développement sans formation et organisation de toutes les activités et de tous les acteurs liés à l’agriculture notamment l’agriculture vivrière. Il faut donner (ou redonner) un sens et une dignité au métier de paysans et paysannes, en éduquant et en formant les acteurs en vue de développer des agricultures familiales locales.
Il faut donc former et organiser à tous les niveaux : de chercheur à paysan et inversement avec la structuration des chaînes de compétences fonctionnelles et interactives.
Aujourd’hui les techniques modernes de communication facilitent les échanges à tous les niveaux et nous avons un rôle qui peut être déterminant dans le domaine de la formation. Nous pouvons réaliser des formations via les réseaux internet et être à même d’assurer la formation à tous les niveaux même des cadres de l’agriculture. Nous pouvons en plus transmettre les documents bien sûr par la voie internet et donc être présents pour tous les domaines de la connaissance et quasiment dans tous les lieux.
Objectif:
Etre une plateforme de formation nationale et internationale pour tous les aspects de l’agriculture et de l’agronomie en regroupant tous les cadres formateurs enseignants des lycées et écoles d’agricultures et agronomiques.
7 - PRENDRE EN COMPTE LES NOUVELLES BIOTECHNOLOGIES SUSCEPTIBLES D’APPORTER DES REPONSES ADAPTEES AUX CONDITIONS ACTUELLES ET A VENIR
Les nouvelles biotechnologies ne peuvent pas rester ignorées voire interdites dans la mesure où de nombreux pays les utiliseront ce qui leur permettra de disposer à bas coût de variétés performantes dans beaucoup de domaines.
Il suffit d’imaginer la technique de CRISP CAS 9 aujourd’hui interdite en France et autorisée aux USA, en Chine, etc.
Le retour uniquement aux méthodes conventionnelles pures semble illusoire quand en plus on sait que la mutagénèse pourrait elle-même être considérée comme une technique OGM sur le territoire de l’Union Européenne. A titre d’exemple la patate douce n’est autre qu’une plante OGM réalisée naturellement par l’introduction d’une bactérie Agrobactérium tumefacien.
Objectif :
Une étude précise de l’ensemble des techniques s’impose pour apprécier avec rigueur scientifique l’intérêt, les avantages et les risques de ces techniques avec systématiquement une connaissance des autorisations accordées par certains pays afin d’évaluer les distorsions de concurrence à terme et à court terme.
8 - PARTICIPER AUX DEBATS NATIONAUX ET INTERNATIONAUX SUR TOUS LES SUJETS ALIMENTAIRES ET ETRE UN LIEU DE REFLEXTION ET DE PROPOSITIONS CONCRETES SUR CES SUJETS AGRONOMIQUES TOUT EN CONSERVANT LE RESPECT DE LA CHARTE ASF (annexe 2)
La participation aux débats sur tous les sujets alimentaires est fondamentale de la part des experts en agriculture et agronomie. De nombreuses personnes souvent sans grande compétence prennent part à des débats orchestrés par les médias afin de créer l’insupportable et de faire croire que finalement tout serait si facile. Des tomates qui poussent sans eau après seulement quelques générations d’adaptation ! On se moque de qui !
Si cela était le cas il y a bien longtemps que les vastes problèmes alimentaires seraient solutionnés. Les médias nous désignent aujourd’hui certaines personnes comme étant des philosophes de la pensée alimentaire !
Il est donc urgent que les experts puissent à leur tour donner leur avis et leur point de vue sur notre avenir.
Objectif:
Le réveil des experts dans les débats relevant de l’économie alimentaire dans l’agriculture et l’agronomie. Prendre part aux débats est indispensable pour que l’avis technique des experts soit connu.
9 - ETRE LA VITRINE DE L’AGRONOMIE ET DE L’AGRICULTURE SUR LE PLAN NATIONAL ET INTERNATIONAL
Il y a une nécessité de réunir les Experts dans une ONG « phare » : les techniciens, les enseignants, les économistes, les informaticiens, les logisticiens, etc. pour prendre part aux débats sur tous les sujets d’actualité.
Objectif:
Rassembler toutes les spécialités pour être une force de compétence sur tous les plans national et international.
STATUTS AGRO SANS FRONTIERE
STATUTS ASF 2019 format PDF (255ko)
- I. Forme – Dénomination – Objet – Siège - Durée
ARTICLE 1 – Constitution ARTICLE 1 – Constitution
Il est fondé entre les adhérents aux présents statuts et ceux qui y adhéreront ultérieurement, une association nationale régie par la loi du 1er juillet 1901 et le décret du 16 août 1901. Des Délégations de pays associés peuvent être comprises. Dans ce cas elles doivent s’engager sur les objectifs d’AGRO SANS FRONTIERE et respecter la Charte de l’Association
ARTICLE 2 – Dénomination
L'association prend la dénomination « AGRO SANS FRONTIERE ».Elle est constituée de l’organisation nationale et de délégations régionales recouvrant les régions administratives et départementales représentées par des correspondants dénommés Délégué régional.En outre, des délégations de pays associées peuvent être comprises. Dans ce cas elles doivent s’engager sur les objectifs d’AGRO SANS FRONTIERE et respecter la Charte de l’Association.
ARTICLE 3 – Objet et chartre
3.1 Objet L’association a pour objet de contribuer au développement durable dans le monde.Pour cela elle développe des actions en direction :- de l’environnement dont gestion et protection des territoires, climat, biodiversité.- des activités économiques dont les productions vivrières ;- de l’humain dont les formations, les organisations, la communication et le social.Ces actions peuvent se développer sur un territoire plus ou moins vaste et/ou sur une production ou une activité économique particulière.
3.2 Charte Les délégations Agro Sans Frontière apportent leurs secours à toutes les régions ou pays du monde présentant des problèmes alimentaires et/ou nécessitant une aide technique qui seront apportés sans aucune discrimination de race, religion, philosophie ou politique.
Œuvrant dans la stricte neutralité et impartialité, les délégations Agro Sans Frontière revendiquent au nom de l'éthique professionnelle agronomique et du droit à l'assistance humanitaire, la liberté pleine et entière de l'exercice de leur fonction.
Les délégations Agro Sans Frontière s’engagent à respecter les principes de durabilité de l’agriculture, de respect de l’environnement en liaison avec les populations locales et à maintenir une totale indépendance à l'égard de tout pouvoir, ainsi que de toute force politique, économique ou religieuse.
Volontaires, chacun des membres des délégations Agro Sans Frontière mesure les risques et périls des missions qu'il accomplit et ne réclamera pour lui ou leurs ayants droit aucune compensation autre que celle que l'association sera en mesure de lui fournir.
ARTICLE 4 - Siège
Le siège de l'association est fixé à Paris au 5 quai Voltaire 75007. Il pourra être transféré par simple décision du Bureau.
ARTICLE 5 - Durée
L'association est constituée pour une durée indéterminée.
II. Membres de l'association
ARTICLE 6 – Les catégories de membres
L’association se compose de plusieurs catégories de membres
1. Les membres bénévoles sont membres bénévoles, les personnes physiques qui adhèrent à 'association et qui participent à la réalisation de son objet.
2. Les membres usagers sont membres usagers les personnes physiques qui adhèrent à l'association et qui bénéficient d'au moins une des prestations fournies par l'association.
3. Les membres associatifs sont membres associatifs les personnes morales qui adhèrent à la présente organisation selon les modalités définies par l'article 7.
4. Les membres bienfaiteurs sont membres bienfaiteurs les personnes physiques ou morales qui aident financièrement ou matériellement l'association.
5. Les membres d'honneur sont membres d'honneur les personnes physiques qui ont rendu des services signalés à l'association.
ARTICLE 7 – Les personnes morales
Seules les associations et les entreprises sont admises en tant que membres associatifs. Elles sont tenues de désigner, lors de leur admission, un représentant qui doit obligatoirement être une personne physique et doivent prévenir le conseil d'Administration de tout changement concernant cette désignation.
Le représentant du membre associatif doit être agréé par le Bureau.
La personne morale-membre ne peut avoir qu'un seul représentant.
Dans toute délibération, le représentant d'une personne morale ne peut disposer que d'une voix.
ARTICLE 8 - Admission et radiation
Pour être membre de l’association, l’adhésion peut se faire directement sur le site internet AGRO SANS FRONTIERE dans la mesure où le futur membre s’engage sur les objectifs et la Charte de l’Association.
Le Conseil d’Administration se réserve le droit d’exclure tout membre qui serait en désaccord avec l’engagement humanitaire de l’association et qui ne respecterait pas la Charte. La qualité de membre se perd par :
a) la démission ;b) le décès ;c) la radiation prononcée par le Conseil d’Administration pour motif grave ; l’intéressé ayant été invité par lettre recommandée à se présenter devant le bureau pour fournir des explications.
III. Ressources de l'Association
ARTICLE 9 – Constitution des ressources
Les ressources de l'Association peuvent être constituées par :
1) le financement apporté à l’occasion de la réalisation de dossiers techniques pour le compte de structures spécifiques,
2 )les subventions d’organismes internationaux, de l'Union Européenne, de l’Etat, des régions, des départements, communes ou autres collectivités locales...
3) les dons ou legs divers de personnes morales ou physiques,
4) les spectacles ou autres manifestations organisés pour l’aide alimentaire,
5) les prestations assurées par les membres d’AGRO SANS FRONTIERE,
6) des mécénats d'entreprises,
7) de tout apport en nature ou en numéraire.
IV. Administration
ARTICLE 10 – Organes chargés de l'administration
L'administration de l'association est confiée au Conseil d'Administration qui désigne un bureau.La répartition des attributions de chacun s'effectue comme suit :
1. Le Bureau est seul chargé de :−la gestion quotidienne des activités de l'Association au plan national−le soutien des délégations régionales dans la conduite de leurs projets respectifs ;−l'agrément de tout membre de l'Association quel que soit sa qualité ou son titre.
2. Le Conseil d'Administration est chargé notamment de :−la définition du contenu des activités de l'Association et de leurs orientations ;l'établissement du budget prévisionnel d'activités en fonction du montant et de la répartition des ressources définies par le Bureau ;−l'embauche ou le licenciement et la gestion du personnel salarié de l'Association, la prise de bail des locaux utiles à la réalisation de l'objet de l'Association ;−>L'expansion des activités de l'Association.−Il est investi des pouvoirs les plus étendus pour administrer l'Association dans les limites de son objet et sous réserve des pouvoirs définis par l'Assemblée Générale.
ARTICLE 11 – Conseil d'administration
L’association est dirigée par un conseil d’administration est constitué de membres, dont le Président, le Vice-Président, le Secrétaire, le Trésorier, les Déléguées régionaux. En cas de vacance de l'un de ses membres, le conseil d'administration pourvoit provisoirement à son remplacement par cooptation au sein des membres de l'association. Il est procédé à son remplacement définitif par la plus proche assemblée générale.
La durée des fonctions des membres du Conseil d'Administration est fixée à deux ans. Chaque année s'entendant de la période comprise entre deux assemblées générales. Le mandat de membre du Conseil d'Administration prend fin automatiquement net de plein droit :− Soit par démission exprimée par écrit étant précisé que tout membre qui, sans excuse, n'aura pas assisté aux réunions de Conseil d'Administration pendant plus de six mois, sera réputé démissionnaire.− Soit par la perte de la qualité de membre de l'Association selon les modalités de l'article 8 des présents statuts.
ARTICLE 12 – Réunions du Conseil d'Administration
1.Le Conseil d’Administration se réunit au moins une fois par an, sur convocation du Président ou sur demande du quart de ses membres.
2. Les convocations se font par email (système internet) avec accusé de réception. Les réunions par viseo conférence et/ou téléphoniques sont valables.
3.Les décisions sont prises à la majorité des voix : en cas de partage, la voix du président est prépondérante.
ARTICLE 13 – Bureau
1. Le Conseil d'Administration désigne parmi ses membres un Président, un Vice-Président - Délégué Régional, un Secrétaire et un Trésorier qui composent les membres du Bureau.
2. La durée des fonctions des membres du Bureau est limitée à la durée du mandat d'administrateur.
3. Les réunions peuvent se tenir au siège ou dans une délégation régionale ou un autre lieu. Les réunions par viseo conférence et/ou téléphoniques sont également valables.
4. Le Délégué régional représente l’ensemble des membres de sa délégation. Il est tenu d'informer le Bureau de toute décision prise et susceptible d’engager l’avenir de l’association.
ARTICLE 14 – Attributions des membres du Bureau
1. Le Président représente seul l'Association dans tous les actes de la vie civile et est investi de tous les pouvoirs à cet effet. Il a qualité pour agir en justice au nom de l'Association après consultation du Conseil d'Administration. Il assure le bon fonctionnement de l'Association. Il peut procéder à des délégations de pouvoirs après en avoir informé le Conseil d'Administration.
2. Le Vice-Président assiste le président dans l'exercice de ses fonctions et le remplace en cas d'empêchement.
3. Le Secrétaire est chargé des convocations et des procès-verbaux des réunions du Conseil d'Administration, du Bureau et de l'Assemblée Générale.
4. Le Trésorier est chargé de tenir ou de faire tenir la comptabilité de l'Association. Il peut percevoir les recettes et effectuer les paiements par délégation du Président.
ARTICLE 15 - Assemblée Générale ordinaire
L’Assemblée Générale ordinaire comprend les membres adhérents actifs ou autres de l’association. Le quorum est atteint lorsque, au moins 10 % des adhérents sont présents ou représentés.Les membres des délégations régionales peuvent se faire représenter par le responsable de la région (Délégué Régional). Dans ce cas, il est détenteur de leurs pouvoirs.
L’Assemblée Générale ordinaire se réunit chaque année.
Quinze jours – au moins – avant la date fixée, les membres de l'Assemblée sont convoqués par courrier ou par email (système internet avec accusé de réception). L’ordre du jour est indiqué sur les convocations.
Le Président, assisté des membres du Conseil d'Administration préside l’assemblée et expose la situation morale de l’association.
Le trésorier rend compte de sa gestion et soumet le bilan à l’approbation de l’Assemblée.
Ne seront traitées, lors de l’Assemblée Générale que les questions soumises à l’ordre du jour.
ARTICLE 16 – Assemblée Générale extraordinaire
Le Conseil d’administration peut décider de la convocation de l’Assemblée Générale extraordinaire en fonction des sujets considérés importants.
ARTICLE 17 – Règlement intérieur
Un règlement intérieur peut être établi par le Conseil d’Administration qui le fait alors approuver par l’Assemblée Générale.
Ce règlement éventuel est destiné à fixer les divers points non prévus par les statuts, notamment ceux qui ont trait à l’Administration interne de l’association.
ARTICLE 18 – Dissolution
En cas de dissolution prononcée par les deux tiers au moins des membres présents à l’Assemblée Générale, un ou plusieurs liquidateurs sont nommés par celle-ci et l’actif s’il y a lieu est dévolu, conformément à l’article 9 de la loi du 1er juillet 1901 et au décret du 16 août 1901.
SITE INTERNET AGRO SANS FRONTIERE
Nous avons l'honneur et le plaisir de vous présenter le nouveau site AGRO SANS FRONTIERE dont la réalisation a été possible grâce à une subvention qui nous a été accordée par l'Association ASSEDI SO Association professionnelle de la Semence Française. Nous en profitons aujourd'hui pour adresser nos remercions à tous les membres de cette Association.
Agro Sans Frontière, Association Humanitaire à but non lucratif a été créée en 1993. Notre objectif est d’apporter une assistance agronomique à tout pays, et toute population, qui ont des besoins alimentaires, dans le cadre d’un processus de développement durable, dans le respect des femmes et des hommes, de leurs cultures et de leurs croyances.
Sur le plan français nous avons plusieurs délégations régionales notamment AFS Bretagne, ASF Pays de Loire, ASF Normandie, ASF Midi-Pyrénées.
Notre démarche première a été de participer directement à toutes les actions humanitaires sans avoir un personnel permanent pour investir l'intégralité de nos finances dans les projets.
Depuis 1993 des actions humanitaires ont été réalisées dans différents continents : Afrique, Amérique Latine, Asie du Sud-Ouest.
A titre d’exemple : Actuellement nous travaillons sur un projet novateur qui concerne la production de pommes de terre à destination des pays difficilement accessibles à partir de graines. L’intérêt majeur de ce projet est de pouvoir approvisionner des pays à partir de graines que nous récupérons en France avec la Station de Sélection du Comité Nord de la France. Cela signifie que la production de pommes de terre de consommation qui ne peut pas être faite aujourd’hui pourrait être réalisée quasiment gratuitement pour ces pays qui n’ont pas d’autres possibilités d’approvisionnement.
Cependant, nous savons tous que toutes les actions à mettre en oeuvre implique une volonté générale et un appui financier qui nous indispensable.
En conséquence, nous vous remercions pour toute aide, aussi petite soit elle, qui sera totalement mise à profit dans nos actions humanitaires dont les résultats sont présentés régulièrement. Plusieurs moyens d'aide sont possibles, soit directement à partir du site par un virement mensuel de 2 Euros par mois minimum ou Don libre via Paypal, soit par chèque (voir adresse).
L'équipe d'Agro Sans Frontière sera toujours heureuse de voir recevoir.
Le Président Le Vice Président Le Secrétaire Général
Gérard CROUAU Bernard JOUAN Francis GUILBAUT
CORONAVIRUS
CORONAVIRUS
Nous traversons une période difficile et très particulière par le fait que c'est la première fois que nous devons sur le plan mondial gérer une pandémie.
Un virus redoutable issu certainement d'une manipulation humaine ce qui montre bien le potentiel de risque qui existe à chaque instant sur notre planète. Demain il y aura autre chose. Mais est-ce le hasard ou autre chose ? En tout cas nous sommes dans une situation très dure pour tout le monde mais certainement plus dure à vivre pour les populations démunies de tout. Si nous avons peur pour notre avenir ces populations ont peur pour leur présent, leur nourriture quotidienne et leur agriculture. L'agriculture se prépare. Chaque année il faut ensemencer les champs, élever le bétail et les petits animaux. Il faut prévoir l'alimentation à terme et long terme. Et souvent les courroies de transmission sont coupées. Il sera forcément complexe de redresser la barre pour revenir à une situation qui était déjà limite.
Par ailleurs, nous ne pouvons plus aller sur le terrain pour les raisons sanitaires mais également pour des raisons politiques avec des conflits qui ne cessent de grandir et de propager la peur. Et c'est bien cela que certains veulent ! faire peur pour nous empêcher de travailler avec les populations locales.
Malgré cela nous essayons de lutter et d'apporter chaque jour notre contribution aussi petite soit elle. Et cette contribution dépend de tous et dépend de vous. Nous avons besoin de soutien moral et financier pour poursuivre nos actions à travers un monde en plein désarroi. FAIRE UN DON C'EST PARTICIPER A SAUVER DES VIES ! Merci pour toute l'aide que chacun nous apportera
LE PRESIDENT d'AGRO SANS FRONTIERE ET TOUTE L'EQUIPE VOUS REMERCIENT