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La population mondiale ne cesse d’augmenter, les conditions climatiques entraîneront, c’est sûr, de profondes modifications pour toutes les grandes productions : céréales, pommes de terre, etc, et les conflits n’ont toujours pas cessés même s’ils se sont déplacés. Les estimations prévoient 9 Milliards d’habitants en 2050 et nous sommes déjà 6 milliards, chiffre donné en 2000.

Les stratégies misent en place aujourd’hui n’ont pas permis d’éradiquer la faim dans le monde. Les organismes internationaux recrutent pourtant les meilleurs spécialistes et les ONG sont présentes un peu partout dans le monde. Il faut répondre à l’urgence : réparer immédiatement sans prévoir demain.

Il est important aujourd’hui que chacun d’entre nous rende des comptes, que l’on fasse une analyse des résultats pour savoir si l’aide apportée est à la hauteur des espérances de ces populations qui n’ont rien ou presque rien et pour lesquelles l’avenir est bouché. Pas d’horizon et même l’espoir ne leur est plus permis et pourtant les aides sont là … mais pour qui, pour quoi ! Il faut rendre des comptes. Accepter le jugement si l’on veut que le développement soit réel.

La mondialisation des échanges, pourquoi pas ! si elle permet aux pays les plus démunis de rentrer dans le concert des pays exportateurs. Si les barrières de l’OMC ne leur sont pas fermées…et si les politiques s’accordent pour que le terrain soit le lieu de travail. Pour que la semence ne soit pas seulement une entité imaginaire et qu’un jour elle puisse être à la disposition de l’agriculteur : au bon moment et de bonne qualité !
Que les obstacles aussi bien internes qu’externes soient levés ! Des barrières partout qui empêchent tout.

La misère, la pauvreté n’est pas une fatalité. Mais l’enfant naît ici ou là-bas. Il ne choisit pas. Et s’il naît là-bas il traîne dès sa naissance le fardeau de la dette de son pays : pauvre ou riche ! C’est son pays qui décidera. Et pour vivre il lui faudra partir, s’exiler pour trouver du travail ou bien accepter son sort qui le conduira inéluctablement à se dessécher sur sa terre brûlée.

Le défi alimentaire sera difficile à relever ! il est préférable d’être optimiste mais les illusions risquent de ne pas être suffisantes. Il faut être capable d’anticiper sur l’avenir. Etre capable de comprendre pourquoi aujourd’hui nous n’en sommes pas capables. Cependant l’analyse reste délicate et chacun d’entre nous aura la sienne. Palabres, palabres combien de palabres faudra-t-il encore ?