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                                                                                            Site internet : Agro  Sans Frontiere.org

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                                                                                           Tel : 0033619428167             

DOSSIER MADAGASCAR : ile AUX NATTES

PRESENTATION DE L’ILE AUX NATTES

L’Île aux Nattes (Nosy Nato) est une petite île de trois kilomètres carrés au sud de l’île de Sainte

Marie (Nosy Boraha) dont elle dépend, elle-même située à quarante kilomètres au large de la côte

Nord Est de Madagascar.

Pour s'y rendre depuis sainte Marie, il suffit de 10 minutes en pirogue.

Il n'y a pas d'électricité ni de routes.

Elle est sillonnée d'une multitude de pistes qui relient les hameaux et cases.

Le climat est tropical humide avec une saison des pluies de janvier à avril (cyclonique), une saison tempérée de mai à septembre et une saison chaude et sèche d'octobre à décembre. La pluviométrie est supérieure à 3500 mm par an.

La population serait d'environ 33000 habitants à Sainte Marie et 1800 à L’île aux Nattes, soit 600 habitants au kilomètre carré. La démographie est galopante.

Les gens vivent essentiellement de la pêche, d'emplois saisonniers dans l’hôtellerie touristique, des emplois ponctuels dans la construction, de la culture de patates douces, songes, manioc, un peu de riz et des fruits tels que bananes, mangues, corossols, noix de coco, papayes, arbres à pain et litchi produits sur des mini parcelles qui ne cessent de diminuer, étant partagées à chaque génération, Les rendements agricoles sont très faibles par manques d'intrants, de semences, de matériel et de technicité . Les sols ont néanmoins un bon potentiel.

Les femmes s'activent aussi dans le micro commerce. Essentiellement au travers d'une multitude de petites gargotes qui proposent les produits de base non périssables ainsi que des boissons, soupes … Tandis que d'autres se déplacent de case en case et vendent le poisson que les hommes ont péché la nuit ainsi que des légumes, fruits, tissus et vêtements...Et en saison touristique il y a l’artisanat, la vanille et girofle, poivre, parfums...

Mais tout cela reste insuffisant. La population demeure dans une situation très pauvre et précaire.

POSSIBILITE DE DEVELOPPEMENT DE L’ILE AUX NATTES

Malgré cela, l’île est paisible et magnifique avec ses plages de rêve, son lagon, une population chaleureuse et accueillante. Elle attire de plus en plus de touristes. Ces dernières décennies ont vu l'implantation de structures touristiques de qualité. Cela va depuis les bungalows traditionnels et authentiques mais de bonne tenue jusqu'aux écot-loges, gîtes et hôtels très luxueux. Aucune de ces structures ne dépasse 10 unités. Pas de tourisme de masse.

En parallèle, s'installent des résidents étrangers, en majorité des retraités qui salarient des locaux pour le ménage, le gardiennage, le jardinage, la cuisine...

Ces emplois dans le tourisme et chez les résidents étrangers sont les seuls à assurer des revenus fixes. Ce qui est très précieux. En période difficile cela assure le minimum vital.

Le salaire mensuel moyen est d'environ 50 euros.

Notre propos est de les fournir en mettant la production locale à leur niveau de qualité et d’hygiène et d'assurer un approvisionnement régulier et constant.

L'objet du projet concerne un groupe familial élargi regroupé en hameau (cette structure familiale est très courante) et très soudé dont l'activité principale est la pêche et surtout l'élevage de poulets de chair, nouvelle production ou ils ont acquis une solide expérience depuis quelques années et qu'il s'agit maintenant de développer. Il y a aussi des compétences en maçonnerie, ce qui est précieux car il y aura des constructions à réaliser.

Ils ont ouvert une petite gargote et produisent quelques fruits et légumes et une petite parcelle de manioc et patates douces.

Rien ne peut être développé sans énergie. C'est la base de toute évolution.

Ici elle ne peut être que solaire. Et depuis peu, on trouve du matériel des plus performants, dans les standards internationaux. Et, tout aussi importants, de vrais professionnels.

Nous avons obtenu un devis intéressant de GILLES ROBERT SARLU.

L'installation pourrait être réalisée très prochainement.

Ceci donnerait accès à l'éclairage, la réfrigération, la congélation, l'eau courante, l'électroménager,

le petit matériel électrique...

INTERET DU PROJET POUR LES ELEVEURS DE VOLAILLE

Leur objectif est d'assurer un approvisionnement constant et régulier des clients en poulets de chair.

Les poulets qu'ils élèvent sont commercialisables dès âge de 6 semaines et jusqu'à 8,5 semaines. Il faudrait donc relancer un banc de 100 poussins toutes les 3 semaines environ. Mais ils n'y arrivent pas et il y a des ruptures dans l'approvisionnement, ce dont se plaignent les clients.

Pour des questions de logistique c'est difficilement envisageable. Car il faut aller chercher les poussins à Tamatave, sur la grande île et c'est une expédition de cinq jours pour 100 poussins.

L'idée est donc d'acheter les poulets par 200 ou 300 et d'en congeler la moitié à 7 ou 8 semaines.

Ainsi la production est lissée, les clients satisfaits et la logistique divisée par deux ou trois.

Il faudrait aussi envisager l'éventualité de gonfler le stock en saison cyclonique car il arrive couramment que pendant plusieurs semaines l'approvisionnement depuis Madagascar ne soit plus assuré, la mer étant trop mauvaise. Ce qui interrompt aussi la pêche locale. Et c'est la pénurie.

INTERET DU PROJET POUR LES PECHEURS

Il y a localement plusieurs techniques de pêche. Toutes ont leur valeur.

La principale est celle qui ne se voit pas car elle est nocturne.

C'est la plongée en apnée, avec des harpons qu'ils se fabriquent eux même avec un fer à béton, une lampe étanche dans l'autre main. Ils partent généralement à 4 ou 5 entre 21h00 et 23h00 sur les pirogues traditionnelles à 200 ou 400 mètres de la cote. Sur des fonds de 4 à 8 mètres. L'équipage est composé de 3 ou 4 plongeurs et d'un piroguier. De retour à terre, ils paient le piroguier et se partagent la pêche de 4 à 12 kg chacun

Leur cible sont les poissons qui la nuit, dorment au fond. Ce sont des poissons de taille modeste. 400 grammes en moyenne.

Dès le lever du jour, les femmes font la tournée des cases et des hôtels et vendent le produit de la pêche.

Les pêcheurs effectuent aux alentours de 20 plongées chacun entre 4 et 8 mètres de profondeur et remontent 0 à 2 poissons à chaque fois. Cela 4 heures dans la nuit. La fatigue et le phénomène d’hypothermie fixent ces limites. Cela demande un entraînement physique et une grande endurance. La sélection et la formation des jeunes est assurée par les anciens. Ça prend environ deux ans.

Les pirogues étant fragiles, ils ne peuvent sortir en mer que lorsque la météo marine est des plus favorables. Néanmoins 1 à 2 pêcheurs disparaissent en mer chaque année.

Parfois ils sont bloqués pendant plusieurs semaines. De même, par pleine lune, ces poissons ne dormant pas, ils doivent renoncer.

Tout cela signifie que la pêche, activité essentielle, est irrégulière. De plus, il leur arrive d'avoir des difficultés à vendre leurs poissons pour différentes raisons. Fin de mois difficiles, rentrée des écoles à financer en priorité, fin de la saison touristique... Un pécheur s'attristait de devoir limiter sa pêche par manque de clients puis 15 jours après ne pas pouvoir fournir parce qu'il ne peut pas pécher.

Le raisonnement est très simple. Comme pour les poulets de chair, il faut congeler.

De même pour la saison cyclonique, il faut stocker.

En plus, ces pêcheurs-là font partie du même groupe familial élargi.

INTERET POUR LES FAMILLES

L’accès à l'énergie pourrait considérablement améliorer la vie quotidienne des familles en leur donnant une priorité pour une des plus belles inventions du vingtième siècle ; le lave-linge. Et aussi à l'eau courante et à l'éclairage.

La réfrigération leur permettrait de mieux conserver les viandes, poissons, fruits et légumes. Et d'avoir de l'eau et des boissons fraîches. Cela rendrait possible la fabrication de jus de fruits naturels qui, à température ambiante, fermentent en deux jours.

Les femmes passent un « temps fou » à faire manuellement la lessive dans une bassine à même le sol et à transporter des seaux d'eau.

De même pour la cuisson des aliments réalisée au charbon de bois avec des « fatanpera », au ras du sol.

Une gazinière inox serait un grand progrès. Inox car en condition saline les gazinières classiques rouillent très vite.

Libérer les femmes de ces tâches ingrates les soulageraient et leur permettraient de développer des activités plus valorisantes.

LES ETAPES

1 INSTALLATION PHOTOVOLTAIQUE

Le choix s'est porté sur du matériel performant, désormais disponible à Madagascar.

D'une puissance de 4000 W de panneaux, 600 Ah de batteries, 3000 W pour les convertisseurs

24 V/230 V, régulateurs de charge. 11500 euros

Un groupe électrogène de secours de 5 à 8 KVA est indispensable. 2000 euros

2 EQUIPEMENTS

2 congélateurs « coffre » de 400 litres minimum. 1600 euros

1 gazinière inox

1 réfrigérateur tour de 300 litres 900 euros

1 pompe à eau avec surpresseur 500 euros

1 Lave-linge 800 euros

1 Gainière inox 700 euros

Équipements électriques ; câbles, fils, prises, ampoules... 800 euros

Plomberie : robinetterie, tuyauterie, éviers... 600 euros

Outillage : perceuse, ponceuse, disqueuse, scie sauteuse, caisse à outils, pelles... 1000 euros

1 scooter (pour les livraisons) 800 euros

1 carsher (nettoyage poulailler) 600 euros

Transport en bateau, camion, « touc touc », pirogue, brouette... 500 euros

TOTAL PHOTOVOLTAIQUE ET EQUIPEMENTS 22300 euros

3 CONSTRUCTIONS

Les constructions traditionnelles sont faites avec

– Pour les structures et charpentes, de bois importé de Madagascar qui devient rare et très

cher.

– Pour les cloisons, planchers ou autres, de bobos correspondant aux tiges de raphia.

– Pour la couverture des toitures, de ravipuntsy qui correspond aux feuilles du ravenal (arbre du voyageur).

– Pour les murs et cloisons, de falafa correspondant aux tiges des mêmes ravenalas.

Ces matériaux ont pour point commun d’être tout sauf durables. La couverture des toitures doit être changée tous les 3,5 à 4 ans. Le reste, tous les 12 à 15 ans.

En plus ces constructions sont très fragiles et vulnérables face aux cyclones. Lors du dernier cyclone en 2008, presque toutes ont été rasées.

De plus elles sont plutôt malsaines, hébergeant des tas d'insectes piqueurs, pinceurs, rongeurs, qu'ils soient rampeurs ou volants. Parfois, selon les saisons, ça grouille.

Les constructions en demi dur ont apporté une amélioration mais insuffisante. Les toits en tôles aussi mais en saison chaude les cases sont des fournaises.

Pour ces raisons, les quelques constructions à prévoir le seront en dur avec toitures en terrasses étanches.

1 bâtiment de 30 mètres carrés divisé en 3 parties :

– Stockage de la Provende et de deux congélateurs

– Stockage du matériel

– Local technique pour héberger entre autres la pompe et le groupe électrogène.

Plus tard le bâtiment sera prolongé par un local ouvert abritant un plan de travail pour l'abattage et la découpe des poulets dans de bonnes conditions sanitaires.

1 poulailler pouvant héberger 3 à 500 poulets en faible densité avec accès à un espace extérieur

grillagé. Il sera réalisé sur l'emplacement du poulailler actuel après destruction.

Ce bâtiment est prévu pour faciliter des lavages et désinfections fréquents et minutieux. Du fait des conditions climatiques les maladies sont omniprésentes et les épidémies, quand elles arrivent causent des ravages.

La main d’œuvre sera assurée par les membres du groupe. Ils en ont la compétence. Mais du fait de la durée des travaux est estimé à 8 mois, il faut les rémunérer correctement.

A titre indicatif, ils prévoient de travailler à 4 personnes pendant 3 à 4 mois pour 100 euros par personne et par mois.

RECAPITULATIF

Bâtiment de stockage et local technique 8000 euros

Local d'abattage et de découpe 1000 euros

Poulailler 4000 euros

Total 13000 euros

Report 2quipements 20900 euros

TOTAL GENERAL 33900 euros

Les montants indiqués sont précis pour l'installation photovoltaïque.

D'autres, estimations sont approximatifs mais certainement très proche de la réalité.

Le montant estimé pour les constructions est plus approximatif.

En fonctions des nouvelles données sur les prix, nous pourrons les affiner.

Les prix indiqués en euros le sont d’après le taux de change actuel qui est très volatil. Il est surtout influencé par le taux de change Euro/USD. En ce moment la tendance ne nous est pas favorable.

 

DON 2024

NOUS VOUS REMERCIONS POUR VOS AIDES QUI NOUS PERMETTENT D'APPORTER UN SOUTIEN A DES GENS SOUVENT DEMUNIS DANS LEUR VIE QUOTIDIENNE. GRACE A VOS DONS NOUS POUVONS POURSUIVRE NOS EFFORTS TECHNIQUES ET APPRENDRE A NOURRIR LES POPULATIONS LOCALES.

MILLE MERCI

LE PRESIDENT

GERARD CROUAU

 

CONTRIBUER A L'AVENIR DE L'ASSOCIATION HUMANITAIRE AGRO SANS FRONTIERE

Des missions sont actuellement en cours pour aider des pays, des régions en difficultés alimentaires. Nous devons les aider à produire directement sur leurs sols.

Pour cela sans votre générosité nous ne pouvons rien faire.

Nous vous remercions pour votre aide financière en versant un don aussi peut-il soit-il directement sur le site AGRO  FRONTIERE

SITUATION TRAGIQUE DE LA COMMUNAUTE D'ASCENSION AU PEROU

Situation tragique de la communauté d'Ascension. C'est un peu l'hécatombe, suite au déficit d'eau dans ces hauteurs andines, qui affecte animaux et hommes. Ceux-ci, dans une tentative désespérée de sauver la situation, ont un besoin urgentissime de s'équiper pour recueillir le peu d'eau disponible avant la sécheresse de juin. Ils ont besoin d'un équipement basique pour faire face et l'installeront par eux-mêmes. Cela fait pitié de voir les photos qui accompagnent le dossier... Sans compter la description de l'état de lieux, pathétique. Ils ont l'intention de faire face avec des moyens sommaires.

Pourrait-on compter sur un financement ? Si nous avions une subvention de 2300€ qui s'ajouterait à notre reliquat de 4000€, cela couvrirait 10% des besoins. La symbolique serait forte et les aiderait à démarcher leurs institutions.

Encore merci pour tout et à très bientôt. Un fuerte abrazo Elisabeth ALIAGA

 

LES MISSIONS EN COURS

De nombreuses missions sont en cours de préparation et nous devons intervenir dans les meilleurs délais. Nous avons de nombreuses demandes d'intervention notamment en RDC République Démocratique du Congo, en Côtre d'IVOIRE, au Sénégal, en Algérie, en Uruguay, etc. Et il est toujours très difficiles de ne pas pouvoir réaliser une mission à cause d'un problème financier mais c'est hélas souvent ce qui se passe. Même des Etudiants français désireux de réaliser des missions à l'étranger ne peut être pris car souvent ils n'ont pas conscient que l'argent est un partie importante de nos actions. De nombreux experts interviennent à titre bénévole ce qui nous permet d'exister encore

PROJET POUR L'UKRAINE                             

 

  PRODUCTION DE POMMES DE TERRE A PARTIR DE GRAINES

 

 

PRODUCTION DE POMMES DE POMMES DE TERRE A PARTIR DE GRAINES

 

Agro sans Frontière met en œuvre la technique de production de pommes de terre de consommation

à partir de graines dans le but d’approvisionner facilement des pays ou des zones particulières.

 

Cette méthode présente trois avantages majeurs :

 

- Gratuité des graines ;

 

- Utilisation de graines pour la semence facilite le transport et le stockage ;

 

- Production de consommation dans l’année sans passer par les magasins de stockage de plants.

 

OBJECTIF DU PROGRAMME

 Pour une production locale :

 

-Mise en place d’une pépinière sur quelques m2 à partir de graines qui donneront des plantes à repiquer

 

-Ces plantes repiquées produiront les premiers tubercules à raison de 2,5 tubercules par plantes

 

-Ces tubercules servent de plants et produiront 10 tubercules par plantes

 

Pour une production à grande échelle les calculs sont les suivants :

 

-       Dans un GRAMME (g) de GRAINES il y a 1000 GRAINES.

 

Avec 200 g soit 200 000 graines, nous pouvons ensemencer 1 ha.             

 

        Nous pouvons ainsi mettre en place le schéma de production de plants de qualité suivant le schéma ci-dessous :

En première génération nous aurons 200 000 plantes par ha qui donneront en moyenne 500 000 tubercules. Soit 2,5 tubercules par plante

 

En deuxième génération ces 500 000 tubercules, soit 500 000 plantes donneront 10 ha à raison de 50 000 tubercules/ha

 

Chaque plante produira environ 10 tubercules soit 5 000 000 de tubercules.

 

En troisième génération les 5 000 000 de tubercules permettront d’ensemencer 100 ha (50 000 tubercules par ha)

 

Ces 100 ha donneront à leur tour environ 35 t par ha soit 3500 tonnes de consommation.

 

Ainsi à partir de 200 graines nous pouvons avoir 100 ha de production en 3ème génération

 

Bien sûr chaque année, il faut remettre en place le schéma pour avoir une production de consommation annuelle permanente. Pour information en France en moyenne les plants commercialisés sont issus de la 5èmegénération.

 

MISE EN ŒUVRE DU PROGRAMME

 

L’OBTENTION DES GRAINES

 Dans un premier temps, les experts d’Agro Sans Frontière se chargent de récupérer, de préparer, de conditionner les graines de pommes de terre.

 Ces graines sont produites à partir de certaines variétés.

 Mode de récupération des graines

 Fleurs en cours d’autofécondation

 

Graines produites à l’intérieur des baies

 

 Récolte des baies renfermant des milliers de graines

 

Stockage des graines

 

 

PREPARATION DE LA PEPINIERE

  Semer les graines sur buvard humidifié et couvrir avec un

 film transparent

 

 Après quelques jours (6 à 10 selon la température) les graines commencent à germer

 

 Semer les graines germées dans des terrines, placées en plein 

air (environ 250 graines par terrine)

 

 Observation après 10 jours

 

 Dès que les plantules ont atteins 6 à 10 cm les repiquer en pépinière

 

 

Dès que les plantules ont atteint 6 à 10 cm, les repiquer en pépinière. Chaque graine donnant une tige, il faut entre 25 et 30 plantules au M² (250 000 à 300 000 tiges à l’hectare)

 

 

 Après environ 60 jours, 150 graines en

 végétation

 

 

La récolte peut se faire environ 100 jours après la

 

Plantation

 

 Récolte de 150 graines le 30 aout

 

 

 

Répartition des calibres

 

+ de 50 25/50 0/25

 

 

CONCLUSION SUR LA TECHNIQUE GRAINES

 

Cette technique de production de pommes de terre à partir de graines est certainement la technique adaptée pour permettre à différents pays et zones particulières d’être approvisionnés en semences en utilisant ce système pour une production annuelle de pommes de terre de consommation.

 

Il est évident que la facilité de conservation, de transport font de cette méthode une technique qui doit trouver un développement dans ce cadre d’intervention. Rappelons que pour planter un hectare de pommes de terre il faut en moyenne 2 tonnes à 2,5 tonnes alors que par la technique de graines il suffit de 200 g de semences par hectare.